- Je t’assure, Dimitri, quand tu marches vers nous, avec ton espèce d’aura mystico-flippante… on dirait que tu nous donnes l’ordre de la fermer... - Alors obéis, au lieu de commenter, ça te changera.
Il est des gens sur cette Terre qui ont vraiment un sens du dialogue époustouflant… Au grand damne de ses collègues, Dimitri n’en faisait évidemment pas partie. Il collectionnait les réponses par « oui » ou « non » (et encore… quand il répondait), détestait les grandes salves de confidences, estimait que rien de sa vie ne regardait qui que ce soit. La grande injustice résidait en ce que lui sache énormément de choses sur ceux qui l’entouraient. Doté d’une mémoire phénoménale (et même pathologique) en la matière, il profitait bien malgré lui d’une capacité à collecter les moindres détails de la vie des gens et cela, associé à son métier, faisait de lui un profiler hors paire. Il pouvait côtoyer une personne pendant des années et repérer une nouvelle pince à cravate à la seconde où le quidam entrait dans la pièce.
- Si tu continues comme ça, tu n’auras jamais de vie de famille… On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre! - T’as épousé une mouche? Félicitations!
Voilà, ça, c’était le genre de phrases qu’il adorait. Le genre de petite décharge cinglante qui mettait fin avec humour à toute tentative d’invasion de son espace vital et autre vie privée. Parce que de l’humour, il en a! Ce n’est pas hyper évident de prime abord, mais il n’est pas rare de voir son visage s’éclairé par un sourire ou des rides joueuses au coin de ses yeux dont la couleur frôlait l’indescriptible. Vert, bleu, brun, pailleté d’or… Une sorte de melting pot à l’image de sa vie… Des origines diverses, une particularité, un homme…
- Fleming! Crime à côté du lycée d’Edimbourg, tu prends? - Depuis quand on s’occupe de ça? - McKee.
Le minable petit bureau qu’il occupait entre deux « voyages d’affaires » comme il disait se vit offrir une envolée sonore de tiroirs qui claquent. Ce n’était pas possible… Il l’avait abattu il y avait six ans de cela! Deux balles dans le cœur, une dans la tête! Une exécution pour ainsi dire (si l’on oubliait qu’il n’avait pas tiré en premier)! McKee n’avait eu aucune chance de s’en sortir! Trouvé. Un petit carnet vert termina son parcours aérien sur la table basse en glissant, stoppant sa course de justesse avant le précipice. Dimitri, qui continuait ses fouilles archéologiques, se retourna vers le carnet qu’il venait de balancer lorsqu’un second bruit du genre se fit entendre. Une petite archiviste taillée dans une allumette se relevait péniblement pendant que le dossier poussiéreux qu’elle apportait s’écrasait juste à côté du calepin.
- Dé… désolée… Il m’a échappé. - Tant que ce n’est pas un cadavre qui finit sur ma table basse…
La jeune femme tira sur ses vêtements pour définitivement effacer toute trace de sa chute. Elle connaissait la réputation de son vis-à-vis mais elle marqua un temps d’arrêt considérable. Etait-il plus difficile de se remettre d’une honteuse gamelle ou d’une des considérations de Dimitri? A méditer, vous avez quatre heures…
- Pansements. Dans la boîte à côté de mes trombones, sur mon bureau. Et la prochaine fois faîtes attention à ce clou. - Je… Merci… oui…
C’était difficile à croire, mais il était attentionné. Sans se poser trop de questions, bien trop intimidée et écrasée par sa présence, la jeune femme ouvrit la boîte en question et se servit. Elle couvrit sa petite blessure au poignet et avant même qu’elle n’ouvre la bouche elle reçut un…
- A gauche.
… Là, c’en était trop. Elle jeta la protection du pansement dans la corbeille qui se trouvait effectivement à gauche et inspira grandement. C’était déjà déstabilisant d’avoir affaire à lui mais lorsqu’il ne vous accordait même pas un regard, plongé dans son carnet vert et son dossier, c’était encore pire!
- Monsieur…
Dimitra leva ses yeux vers elle puisque manifestement c’est ce qu’elle attendait. Son expression de petite chose timide venait de changer et de façon logique celle de Dimitri aussi. La méfiance s’accrut lorsqu’elle ferma la porte. Elle fouilla nerveusement dans les poches de sa veste de tailleur cintré et en sortit une tonne de papiers de bonbons, un porte-clef cassé et un petit anneau. Sa petite main tremblait. Les yeux de Fleming s’arrondirent d’avantage. Il se releva comme un seul homme, et traversa le petit bureau d’un pas avant de se saisir de l’anneau. Il força à la jeune femme à s’asseoir dans le fauteuil avant qu’elle ne fasse un malaise et lui demanda des explications de son regard perçant.
- Je… je-l’ai-reprise-aux-archives-dans-la-boîte-j’ai-brisé-les-scellés-ma-carrière-va-être-brisée-elle-aussi-mais-je-n’avais-pas-le-choix!! - Respirez. - Je-respire! … Je… Respire… Elle… elle-a-brillé! Mon-père-était-bijoutier-je-peux-vous-dire-que-ce-n’est-pas-de-l’or-comme-chez-nous! - Recommencez. - Quoi? - A respirer. - Oui. … Elle… Je sais d’où elle vient, j’en viens aussi… On ne range pas des millions de dossiers en deux semaines après embauche sans un petit… coup de pouce… Je… ne sais pas pourquoi je vous le dis à vous, mais je sentais que je… - Vous voyez quand vous voulez! - Quoi? - Vous pouvez respirer.
C’était tellement décalé comme réponse! Elle allait lui avouer qu’elle était une sorcière et il était heureux de voir qu’elle respirait! A son grand soulagement, une réaction beaucoup plus normale fit son apparition : Dimitri passa longuement sa main droite sur son visage. Il fallait prendre une décision et vite. Il ordonna à la petite archiviste et manifestement sorcière de chercher son manteau. Elle venait avec lui. Elle sortit de la pièce entre peur, excitation et incompréhension – Etait-il sorcier lui aussi?! Ca expliquerait beaucoup de choses en même temps… – pendant que le trentenaire rassemblait ses papiers, passait chercher son arme et une mystérieuse boîte. Il ne répondit même pas au « C’est bien, mon grand! Premier pas vers la vie de famille, j’suis heureux que tu m’écoutes parfois! » de Turner lorsqu’il commença à rallier l’extérieur. Dévalant les escaliers quatre à quatre, il se retrouva devant l’étage des archives où la micro-agent-stagiaire courait tant bien que mal en talons. Elle lui emboita le pas et s’échina à suivre le rythme. Les pneus de la berline crissèrent dans le garage et lorsqu’elle parvint en haut de la pente elle décolla de quelques centimètres!
- Quel est votre prénom? - Ly… Lynn, monsieur. - Accrochez-vous, Lynn. - Je… Je ne fais que ça!
Littéralement cramponnée à la ceinture de sécurité, elle luttait pour garder les yeux ouverts! Ce n’était pas à proprement parler le quotidien des archives! Pourquoi s’était-elle levée ce matiiin…?! Elle tombe dans le bureau d’un agent, au passage elle balance un dossier au lieu de l’apporter et de s’effacer, elle finit dans une voiture qui roule à 130km/h en ville, pour se rendre sur une scène de crime avec un sorcier (ou pas)! Elle, dont le seul cadavre qu’elle ait jamais vu était celui de Bubble, le poisson rouge de sa sœur! Elle aurait dû prendre sa journée, elle le savait… La voiture s’immobilisa. En deux temps trois mouvements son conducteur s’était libéré de sa ceinture de sécurité et avait fermé la porte pour déjà se retrouver de l’autre côté de la rue alors que le « Ben qu’est-ce que vous attendez? » qu’il lui avait lancé parvenait seulement à son cerveau. Qu’est-ce que vous att… Oh! Lynn se ressaisit et quitta la voiture en une quantité impressionnante de gestes aussi brouillons qu’inutiles. L’impasse à côté du Lycée ne sentait vraiment pas que la mort… Un homme d’une cinquantaine d’année, en costume rayé qui faisait vaguement penser à Al Capone, gisait sur le sol, les bras en croix et… tirant la langue. Lynn ne put retenir un fou-rire nerveux. Elle se trouvait devant un cadavre de cartoon! Elle se tordait dans tous les sens, séchant ses larmes d’un revers de manche toutes les dix secondes, sous le regard médusé des agents et légistes alors que le seul à rester de marbre profitait de la diversion qu’elle offrait pour ramasser un petit anneau semblable à celui que l’archiviste lui avait apporté ce matin même.
- Elle est avec moi.
La phrase eut l’effet d’un seau de glace pilée dans le dos. Lynn rentra dans les rangs, se rappelant soudain à son devoir, priant le ciel de ne pas avoir fait honte à Monsieur Fleming. Les légistes se remirent à l’inspection du cadavre, des policiers exposaient les faits et autres témoignages du voisinage pour certain pendant que d’autres invoquaient un conflit de juridiction. C’était à la police, de faire ce travail! Il n’avait rien à faire ici! Effectivement… De toute façon il avait ce qu’il voulait ou du moins en partie… Il se contenta seulement de regarder le petit chef de meute et de lui annoncer le sourire aux lèvres qu’il l’avait tué il y a six ans de cela de deux balles dans le cœur et d’une dans la tête. C’était pour cela, qu’il se trouvait là. Deuxième seau de glace pilée dans le dos… Le petit chef de meute s’étrangla…
- P… pardon?! - Oh un peu d’humour! On se détend, là!
C’était le genre de moment où Lynn sentait l’obligation de la boucler peser trèèès lourdement sur ses épaules. Elle avait été choquée qu’un agent secret tel que lui dise la vérité sur ses actions à un policier, mais effectivement, la vérité est parfois tellement énorme qu’elle ne devient pas crédible du tout… Mieux valait donc tout prendre avec… humour? Il avait une de ces façons de lui apprendre son métier… La journée promettait d’être riche! Insaisissable, mieux valait savoir composer avec lui puisque manifestement il ne bougerait pas. Intégrés tous les deux dans l’enquête, ils perçurent des marques de chirurgie esthétique balbutiante et autres tentatives de métamorphose. McKee était un criminel de guerre qui avait attenté maintes fois à la vie d’innocents afin de se couvrir. Il semait la mort comme le Petit Poucet semait des cailloux. Ce qui paraissait complètement aberrant! Normalement, moins on laisse de traces, moins on a de chance de se faire prendre! Il n’y avait que peu de gens pour penser qu’un cadavre ne constituait pas une trace!
L’enquête en elle-même n’avait guère d’importance. L’agent et l’archiviste-agent-stagiaire se concentrèrent sur l’aspect sorcier. Elle estimait qu’il fallait connaitre son coéquipier, elle lui débita donc sa vie depuis sa naissance jusqu’à l’agence sans oublier Poudlard, les Serdaigles, elle détestait le Quidditch parce qu’elle ne savait pas voler sur un balai etc… Il se contenta de lui dire qu’il y avait été, elle s’en réjouit, elle ne s’attendait même pas à ce qu’il lui dise quoi que ce soit. Il tut tout le reste… Né avec une forme d’autisme peu sévère expliquant sa mémoire, il n’avait commencé à parler qu’à l’âge de 9 ans, et avait découvert l’année suivante magie et école des sorciers, l’internat, les premières bagarres, comment s’en tirer, comment se forger cette arme qu’est l’humour noir sarcastique et caustique… Il était promis à une brillante carrière de médicomage lorsqu’il fut contraint de quitter le monde qui était le sien pour une sombre histoire d’arrestations dans sa famille, les balbutiements de l’ère Voldemort… Intimement convaincu de la compétence de Dumbledore pour ce qui était de former la génération future de sorciers, il avait changé d’identité et fuit pour le monde moldu, travaillant pour le ministère en renvoyant les objets sorciers égarés chez les moldus au seul contact qu’il avait là bas. Mais là, il ne s’agissait plus de faire un petit paquet et un mot cordial… Dans les jours qui suivirent, Dimitri disparut de la circulation écossaise. Rien d’étonnant pour un agent secret, une infime partie des gens qui travaillaient avec lui le remarquèrent sans pour autant épiloguer. Il devait absolument voir son contact sorcier… C’était trop gros pour être honnête… On ne mettait pas deux fois une copie de la bague d'un innocent sur des cadavres… Définitivement le vent tournait et rejoindre l'Ordre du Phoenix s'était imposé. Mauvais coup, coup monté, mauvais coup monté… Il fallait enquêter et cette fois-ci il n’y avait plus de frontière non seulement entre les pays mais aussi entre les mondes…
Spoiler:
La luminosité entre chien et loup gagnait du terrain sur celle du jour… Les nuages s’étiraient haut dans le ciel, comme des lambeaux de coton que le crépuscule teintait de couleurs flamboyantes… Dimitri releva le col de sa cape, décidément il n’avait plus l’habitude des vêtements sorciers. Le prodige de recommencer une vie en accéléré en trois jours et deux nuits avait opéré, cela ressemblait presque à une habitude à dire vrai… A chaque fois qu’il arrivait dans un nouvel endroit : la banque, la découverte des lieux, la mémorisation de la carte, des gens… Il n’avait plus mis les pieds à ici depuis si longtemps que mises à part les vieilles pierres et les personnalités qui faisaient partie des meubles tout lui paraissait étranger! Et sa tenue habituelle lui manquait déjà terriblement… Mais il fallait se fondre dans la masse, il n’avait pas le choix… Vêtements, appartement, réseau et… travail.
Habitué aux rythmes complètement fous, Dimitri n’avait dormi qu’une vingtaine d’heures en une semaine et ne s’en portait pas plus mal. Il entamait son quatrième jour aux Trois Balais. Le choix avait vite été fait : l’objectif se situant quelque part entre l’intégration totale et la quête d’informations importantes, un lieu de rassemblement s’imposait. L’idéal aurait été un trou paumé mal famé comme la Tête de Sanglier mais ses occupants trop louches pour être vraiment les plus fourbes n’auraient pas été les plus intéressants. A côté de cela : le salon de Madame Piedoddu, l’anethésie neuronale (produite par les hormones) et oculaire (résultant de la déco), avaient été définitivement écartés à la première lecture! Restait donc l’établissement des Trois Balais. Il avait fait bonne impression en récitant scrupuleusement toutes les façons de créer des cocktails et autres boissons qu’il connaissait (et surtout qu'avait appris durant son trajet depuis Edimboug). Il présentait bien, connaissait visiblement son métier (crapuleusement appris dans les jours précédent et à l’occasion de quelques couvertures, mais il était bien le seul à le savoir), disposait d’un sens éthique tel qu’il n’aurait jamais servi la moindre goutte d’alcool à un mineur…
- B’jour… Un whisky s’il vous plait. - Non. - Comment ça « non » ? - Tu es mineur. - Mais c’est faux! - Tu as 15 ans, tu es né en Avril, ainé d’une grande fratrie tu as connue une famille anglo-irlandaise aimante, et tu joues au caïd parce que tu es juste maladivement timide… Je continue? - … - Jus de citrouille? - C’était… mon second choix. - Pardon? - Le premier. Mon premier choix. -Bieeen… - Merci Monsieur. - Mais je t’en prie.
Cette scène qui le faisait encore sourire trois jours après lui avait valu d’être applaudi. Le jeune homme qui se trouvait en fasse de lui avait manqué de défaillir de honte, cramponné au zinc, et instinctivement Dimitri l’avait à son tour applaudi afin de reporter l’attention sur le petit. Ce dernier avait retrouvé une consistance et fait la révérence à ses amis avant de les retrouver et de s’attabler, son verre de jus de citrouille en main. Le regard que l’agent reçu sans y porter plus d’importance que nécessaire par la suite était à mi-chemin entre le "Je vous déteste, barman." et "Merci…". Il se contenta d’opiner du chef pour lui laisser entendre que cela resterait entre eux. Mais rien n’avait échappé aux témoins et intérieurement Fleming comptait bien là-dessus. L’histoire se propagea comme une trainée de poudre… Désormais il prendrait le service du soir, beaucoup de jeunes voulaient voir le barman qui sert les bonnes commandes avant même qu’elles aient été formulées. Il n’allait pas dire qu’il était autiste, profiler, agent secret, etc… simplement l’habitude… Cela dit il fallait bien admettre qu'un ingrédient au moins aussi secret que lui s'incorporait à la pâte de ses talents. Pas qu'il en eût une utilité particulière au début, étant donné ses prédispositions en la matière, mais il avait appris l'art de la Legilimencie plus pour répondre à une frustration qu'autre chose. De tout temps il avait été capable de percevoir l'imperceptible chez les gens, mais ne pas aller au bout des choses lui faisait détester sa condition. Voir qu'un être qui sourit, marche légèrement, contrôle la moindre des choses et percevoir un mal-être évident alors que tous se seraient arrêtés à ce qu'il dégage était une chose, vouloir aller au bout de ce malaise pour mieux l'aider en était une autre. Il avait commencé à apprendre la Legilimentie dans les livres, tout simplement. En sixième année. Il avait commencé par s'entrainer sur ses proches, plus vulnérable car le manque de pratique se compensait pas la connaissance du sujet, puis ses amis et enfin les inconnus de plus en plus loin de lui.
A peine arrivé ce soir là, des gens d’à peu près tous les âges se tenaient devant la porte. Ils s’approchèrent, il se méfia, plus par réflexe que par danger imminent, mais il n’en montra rien. Deux jeunes femmes, quatre jeunes hommes. Le mâle alpha s’avança… Et lui tendit la main. C’était du délire?! Il n’y avait que les rockstars qu’on attendait devant le lieu où elles officiaient! Dimitri, toujours cordial et souriant, la serra. Il fit d’ailleurs le tour de toutes les mains tendues par politesse, demandant ça et là si les cours se passaient bien etc… Parfait. Allez tenez bon, les examens n’étaient pas si terrible que ça… Il distillait ses conseils comme un grand frère et tout compte fait peut-être était-ce bien cela qu’ils venaient tous chercher aussi. Il parlait peu mais parlait bien et surtout écoutait…
La vieille porte de bois se laissa ouvrir sans trop de résistance ni de grincements pour dévoiler un intérieur chaleureux à la lumière tamisée et aux effluves rassurantes. Le brouhaha diminua pour se raviver de plus belle dès son entrée. Victime de son succès? N’allons pas jusque là… On aurait d’avantage dit une corrida! Bientôt les paris seraient lancés! "Tu crois qu’il trouvera pour moi?" "Dix gallions qu’il ne saura pas pour la jolie brune." "Tenu" C’était pitoyable mais une fois tout le monde servi, Dimitri se sentait comme un jeune homme qui venait de rendre sa copie d’examen! Il posa son pardessus sur le porte manteau derrière la porte, tira sur ses vêtements pour les défroisser du frottement de cape, et s’installa à son poste où il relaya une jeune femme pas mécontente de le voir arriver! Il se servait peu de la Legilimencie dans le bar, en général tout ce qui est sucré fait l'affaire pour satisfaire des papilles, on rajoute une pointe d'originalité par ci par là pour rappeler la personne et on a un cocktail personnalisé qui fait de l'effet. Mais à de plus rares occasions encore un terrain différent avait à être exploré. Une transaction louche, des êtres un peu trop parano... il suffisait alors d'apporter une boisson, faire son métier en somme, et à coup de regards accrochés les esprits étaient sondés et l'ODP renseignée parée à être commanditée!
Who Is The Muggle Behind The Screen?
Dernière édition par Dimitri Fleming le Mer 28 Déc - 23:42, édité 1 fois
Liam E. Scott
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Sujet: Re: Dimitri Fleming [Terminé]. Mar 27 Déc - 15:52
Mon agent secret préféré *-*
Tu vends toujours de l'alcool a des mineurs j'espère ? C'ma seule condition pour ta validation...
Enfin... j'aime pas trop quand tu pointes ton machin à balles sur moi alors on va dire que je te valide pour cette fois, hein ?
Dimitri Fleming
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Sujet: Re: Dimitri Fleming [Terminé]. Mar 27 Déc - 17:07
1. Je suis incorruptible, il n'y aura pas d'alcool pour les mineurs. T'emballe pas =P! 2. C'est toi qui m'as fait l'avatar XD donc t'as aucune raison de ne pas me valider mwahahahaaa! Marchi en tout cas!
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Sujet: Re: Dimitri Fleming [Terminé].
Dimitri Fleming [Terminé].
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